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CLASSES : 3SCIENCES,M.T,
G.E,
TEXTE :
Le groupe décida d'opérer de 19 h à 22 heures à la faveur de soirées de chants et prières, tolérés en salle, mais non autorisés.
Dans l'obscurité, le glissement de la lime allait et venait, subtil et menaçant, vite absorbé par la houle des incantations religieuses et des hymnes patriotiques. Les clameurs nocturnes ne troublaient déjà plus la garde.
La nuit du 15 au 16 mars 1952 fut la nuit de la grande fraternité militante : Arab Mohamed et Bouda Abdelkader (ce dernier tomba au champ honneur dans la région de Boudouaou - Alma), se relayèrent au limage du barreau. L’émotion fut grande lors de l'arrachement soudain du barreau central après une heure de travail.
La victoire fut partagée intensément en silence. Mais l'espoir, le doute, les craintes mêlés tourbillonnaient dans les esprits. Il fallait y aller et agir avec audace, demeurer soi-même le plus longtemps possible.
Il était 02 heures du matin, entre deux rondes. Ben Bella et Mahsas se glissèrent par la fenêtre.
Ils avancèrent prudemment dans la douce fraîcheur de la nuit. 02 heures 05, les deux fugitifs commencèrent à escalader leur premier mur : courbés, la silhouette ronde, bondissant à saute-mouton. Mais le mur semblait plus haut que prévu, sans doute un effet d'appréhension ou d'impatience.
Après le premier obstacle, Ben Bella reprit son souffle, puis fixa le repère et lança la corde qui retomba mollement dans l'anfractuosité du créneau. Il avait suffi d'une fois ! Etait-ce possible ? Une chance ! La corde se tendit peu à peu. A 02 heures 20, l'homme attendu était au rendez-vous. La corde s'agita. La liaison confirma la réception. Pour les compères, la volonté et le courage de la rude école de l'O.S. firent le reste. L'un après l'autre et geste après geste, chacun se hissa, émergea et bascula à l'extérieur.
M.YOUSFI, L'Algérie en marche, Ed. ENAL, 1985
La lime : Outil d’acier utilisé pour tailler ou pour couper.
Questionnaire :
I. Compréhension : (14 pts)
1- « la nuit de la grande fraternité militante. »
a- Que veut dire l’auteur par cette expression ?
b- Relevez dans le texte deux expressions qui en reprennent le sens.
2- Comment le glissement de la lime est-il caché?
3- Quels sentiments éprouvent les militants après avoir arraché le barreau?
4- Donnez un titre au texte.
5- « ….qui retomba mollement dans l'anfractuosité du créneau. »
Le mot souligné signifie :
• Doucement
• Bruyamment
• Brusquement.
Recopiez la bonne réponse
6- Les clameurs nocturnes ne troublaient plus la garde.
Mettez à la voix passive
7-Ben Bella et Mahsas se glissèrent par la fenêtre. Les deux fugitifs
commencèrent à escalader leur premier mur.
Mettez les verbes du passage ci-dessus au passé composé.
8- Nominalisez la phrase suivante :
La liaison confirma la réception.
II- Production écrite : (6pts)
Observez la photo.
Pouvez- vous en quelques lignes, parler de l’événement présenté sur la photo ?(le lieu, les personnages, l’époque……)
Bon courage
LYCEE AHMED BOUMEHDI CLASSES / 3.L.L
SIDI LAKHDAR
Composition de la langue française n°1
TEXTE :
Elles ont choisi leur destin, préférant mourir plutôt que rester à l’écart de ce qui se passait, à chaque instant, elles n’ont pas hésité à braver les dangers, leur seul souci était de voir l'Algérie libre et indépendante. Djamila, Hassiba, Ourida et tant d'autres ont marqué l'histoire.
Leurs noms sont gravés avec des lettres d’or. Des femmes qui ont tissé avec leur bravoure et leur détermination une part de notre mémoire collective afin que l'oubli ne vienne plus dissoudre leurs noms. Elles ont été 2000 femmes à prendre le maquis. Elles ont eu un rôle déterminant dans les services sanitaires. Il y avait peu de médecins algériens. En 1954, il y avait cinq médecins femmes. Beaucoup d'infirmeries ont donc été prises en charge par la gent féminine. Elles étaient des responsables de toute une zone, du point de vue sanitaire. Elles étaient le lien entre les femmes de la population et les maquisards. Exclues de la vie politique par le colonialisme, oubliées par le mouvement national, les femmes avaient décidé d’investir dans un secteur réservé à l'homme : la politique et la guerre. Leur présence était sur tous le fronts. Cuisinières, lavandières, responsables de ravitaillement et maquisardes, les femmes trouvaient toujours au fond d'elles mêmes quand la faim tenaillait les entrailles et quand les ronces tailladaient les mollets jusqu'au sang, les mots pour soulager et pousser les moudjahiddines de l'avant.
Ces femmes qui poussaient le sacrifice jusqu'à la limite de la résistance
physique, refusant le moindre privilège eu égard à leur condition de femme, voulaient coûte que coûte partager les conditions imposées par la vie de maquis. Défiant la peur, le froid et la faim, ces braves femmes parcouraient des kilomètres," Sillonnaient » villes et douars pour porter lettres, ordres écrits et armes aux moudjahiddines.
Ces femmes, qui ont eu à côtoyer la mort, eurent aussi à couler le plomb des balles, à récupérer les munitions, à enterrer les martyrs, en poussant des youyous et à évacuer les blessés. Elles sont restées debout face à l'un des ennemis les plus redoutables, épuisant jusqu'à la dernière cartouche.
La Nouvelle République
1er Novembre 2007
Questionnaire :
I- Compréhension : (12 pts)
1- « Djamila, Hassiba, Ourida et tant d'autres ont marqué l'histoire. »
Que signifie cette phrase ?
Relevez dans le texte deux expressions qui en reprennent le sens.
2- Qui sont ces femmes : Djamila, Hassiba et Ourida ?
3- Quel est le domaine qui a été monopolisé par les femmes ? Relevez dans
le deuxième paragraphe la phrase qui nous le montre.
4- « ……..quand la faim tenaillait les entrailles. »
Le mot « tenaillait » signifie :
- torturait.
- questionnait.
- taquinait.
Choisissez la bonne réponse.
5- Donnez un titre qui convient au texte.
6- Beaucoup d'infirmeries ont donc été prises en charge par la gent féminine.
Mettez à la voix active
7- Ces femmes récupéraient les munitions.
Ces braves femmes parcouraient des villes.
Nominalisez les phrases ci- dessus.
8- Réécrivez ce passage en remplaçant le mot souligné par : « Cette femme »
« Ces femmes, qui ont eu à côtoyer la mort, eurent aussi à couler le plomb
des balles. Elles sont restées debout face à l'un des ennemis les plus
redoutables.
II- Production écrite :
(8PTS)
Observez la photo.
Pouvez- vous en quelques lignes, parler de l’événement présenté sur la photo ?
(le lieu, les personnages, l’époque……)
Bonne chance
Votre professeur
Niveau :3 lettres et langues
Corrigé type de la composition n°1
I- Compréhension : (12 pts)
1- « Djamila, Hassiba, Ourida et tant d'autres ont marqué l'histoire. »
Cette phrase signifie que Djamila, Hassiba, Ourida ont laissé leurs traces dans l’histoire de la guerre de libération algérienne. Ces femmes d’honneur ont combattu, bataillé le colonialisme français. Des femmes algériennes qui n’ont pas raté le rendez –vous de l’histoire. 1pt
Les deux expressions qui en reprennent le sens.
- Leurs noms sont gravés avec des lettres d’or. 1pt
- Des femmes qui ont tissé avec leur bravoure et leur détermination une part de notre mémoire collective afin que l'oubli ne vienne plus dissoudre leurs noms. 1pt
2- Djamila, Hassiba et Ourida sont des militantes, des héroïnes qui avaient l’amour de la patrie dans le sang. Elles ont payé de leur vie, choisissant de se sacrifier sur l’autel de la liberté. 1pt
3- le domaine qui a été monopolisé par les femmes : la santé 1.5pts
- Beaucoup d'infirmeries ont donc été prises en charge par la gent féminine.
- Elles ont eu un rôle déterminant dans les services sanitaires.
4- « ……..quand la faim tenaillait les entrailles. »
Le mot « tenaillait » signifie : torturait. 1pt
5- Donnez un titre qui convient au texte. 1pt
- Djamila, Hassiba, Ourida et les autres.
- Des femmes algériennes qui ont marqué l’histoire.
- La révolution au féminin.
6- Beaucoup d'infirmeries ont donc été prises en charge par la gent féminine.
La gent féminine a donc pris en charge beaucoup d'infirmeries. 1.5pts
7- Récupération des munitions par ces femmes. 2pts
Le parcours des villes par ces braves femmes.
8- « Cette femme, qui a eu à côtoyer la mort, eut aussi à couler le plomb
des balles. Elle est restée debout face à l'un des ennemis les plus
redoutables. 1pt
II- Production écrite : (8pts)
2 – ESSAI :
a- compréhension du sujet.
b – pertinence des idées
c - le plan.
d – cohérence.
e – correction de la langue.
Niveau :3 AS Sciences, G.E,
MATH, M.T
Corrigé type de la composition n°1
I- Compréhension : (14 pts)
1- « la nuit de la grande fraternité militante. »
a- Cette expression veut dire qu’une ambiance de fraternité, de solidarité et d’union régnait au sein du groupe des militants cette nuit là.
b- Les deux expressions qui en reprennent le sens.
- Arab Mohamed et Bouda Abdelkader se commutèrent au limage du barreau.
- le glissement vite absorbé par la houle des incantations religieuses et des hymnes patriotiques.
- L’émotion fut grande lors de l'arrachement soudain du barreau central.
2- Comment le glissement de la lime est-il caché?
Le glissement de la lime est caché ou absorbé par la houle des
incantations religieuses et des hymnes patriotiques.
3-Les sentiments éprouvés après avoir arraché le barreau :
- La victoire fut partagée vivement en silence.
- L'espoir, le doute, les craintes mêlés tourbillonnaient dans les esprits
4- Donnez un titre au texte.
- L’évasion.
- La nuit de la grande fraternité militante.
5- « ….qui retomba mollement dans l'anfractuosité du créneau. »
Le mot souligné signifie : Doucement
6- Les clameurs nocturnes ne troublaient plus la garde.
La garde n’était plus troublée par les clameurs nocturnes.
7-Ben Bella et Mahsas se sont glissés par la fenêtre. Les deux fugitifs
ont commencé à escalader leur premier mur.
8- Confirmation de la réception par la liaison.
II- Production écrite : (6pts)
2 – ESSAI :
a- Compréhension du sujet.
b – pertinence des idées
c - le plan.
d – cohérence.
e – correction de la langue
G.E,
TEXTE :
Le groupe décida d'opérer de 19 h à 22 heures à la faveur de soirées de chants et prières, tolérés en salle, mais non autorisés.
Dans l'obscurité, le glissement de la lime allait et venait, subtil et menaçant, vite absorbé par la houle des incantations religieuses et des hymnes patriotiques. Les clameurs nocturnes ne troublaient déjà plus la garde.
La nuit du 15 au 16 mars 1952 fut la nuit de la grande fraternité militante : Arab Mohamed et Bouda Abdelkader (ce dernier tomba au champ honneur dans la région de Boudouaou - Alma), se relayèrent au limage du barreau. L’émotion fut grande lors de l'arrachement soudain du barreau central après une heure de travail.
La victoire fut partagée intensément en silence. Mais l'espoir, le doute, les craintes mêlés tourbillonnaient dans les esprits. Il fallait y aller et agir avec audace, demeurer soi-même le plus longtemps possible.
Il était 02 heures du matin, entre deux rondes. Ben Bella et Mahsas se glissèrent par la fenêtre.
Ils avancèrent prudemment dans la douce fraîcheur de la nuit. 02 heures 05, les deux fugitifs commencèrent à escalader leur premier mur : courbés, la silhouette ronde, bondissant à saute-mouton. Mais le mur semblait plus haut que prévu, sans doute un effet d'appréhension ou d'impatience.
Après le premier obstacle, Ben Bella reprit son souffle, puis fixa le repère et lança la corde qui retomba mollement dans l'anfractuosité du créneau. Il avait suffi d'une fois ! Etait-ce possible ? Une chance ! La corde se tendit peu à peu. A 02 heures 20, l'homme attendu était au rendez-vous. La corde s'agita. La liaison confirma la réception. Pour les compères, la volonté et le courage de la rude école de l'O.S. firent le reste. L'un après l'autre et geste après geste, chacun se hissa, émergea et bascula à l'extérieur.
M.YOUSFI, L'Algérie en marche, Ed. ENAL, 1985
La lime : Outil d’acier utilisé pour tailler ou pour couper.
Questionnaire :
I. Compréhension : (14 pts)
1- « la nuit de la grande fraternité militante. »
a- Que veut dire l’auteur par cette expression ?
b- Relevez dans le texte deux expressions qui en reprennent le sens.
2- Comment le glissement de la lime est-il caché?
3- Quels sentiments éprouvent les militants après avoir arraché le barreau?
4- Donnez un titre au texte.
5- « ….qui retomba mollement dans l'anfractuosité du créneau. »
Le mot souligné signifie :
• Doucement
• Bruyamment
• Brusquement.
Recopiez la bonne réponse
6- Les clameurs nocturnes ne troublaient plus la garde.
Mettez à la voix passive
7-Ben Bella et Mahsas se glissèrent par la fenêtre. Les deux fugitifs
commencèrent à escalader leur premier mur.
Mettez les verbes du passage ci-dessus au passé composé.
8- Nominalisez la phrase suivante :
La liaison confirma la réception.
II- Production écrite : (6pts)
Observez la photo.
Pouvez- vous en quelques lignes, parler de l’événement présenté sur la photo ?(le lieu, les personnages, l’époque……)
Bon courage
LYCEE AHMED BOUMEHDI CLASSES / 3.L.L
SIDI LAKHDAR
Composition de la langue française n°1
TEXTE :
Elles ont choisi leur destin, préférant mourir plutôt que rester à l’écart de ce qui se passait, à chaque instant, elles n’ont pas hésité à braver les dangers, leur seul souci était de voir l'Algérie libre et indépendante. Djamila, Hassiba, Ourida et tant d'autres ont marqué l'histoire.
Leurs noms sont gravés avec des lettres d’or. Des femmes qui ont tissé avec leur bravoure et leur détermination une part de notre mémoire collective afin que l'oubli ne vienne plus dissoudre leurs noms. Elles ont été 2000 femmes à prendre le maquis. Elles ont eu un rôle déterminant dans les services sanitaires. Il y avait peu de médecins algériens. En 1954, il y avait cinq médecins femmes. Beaucoup d'infirmeries ont donc été prises en charge par la gent féminine. Elles étaient des responsables de toute une zone, du point de vue sanitaire. Elles étaient le lien entre les femmes de la population et les maquisards. Exclues de la vie politique par le colonialisme, oubliées par le mouvement national, les femmes avaient décidé d’investir dans un secteur réservé à l'homme : la politique et la guerre. Leur présence était sur tous le fronts. Cuisinières, lavandières, responsables de ravitaillement et maquisardes, les femmes trouvaient toujours au fond d'elles mêmes quand la faim tenaillait les entrailles et quand les ronces tailladaient les mollets jusqu'au sang, les mots pour soulager et pousser les moudjahiddines de l'avant.
Ces femmes qui poussaient le sacrifice jusqu'à la limite de la résistance
physique, refusant le moindre privilège eu égard à leur condition de femme, voulaient coûte que coûte partager les conditions imposées par la vie de maquis. Défiant la peur, le froid et la faim, ces braves femmes parcouraient des kilomètres," Sillonnaient » villes et douars pour porter lettres, ordres écrits et armes aux moudjahiddines.
Ces femmes, qui ont eu à côtoyer la mort, eurent aussi à couler le plomb des balles, à récupérer les munitions, à enterrer les martyrs, en poussant des youyous et à évacuer les blessés. Elles sont restées debout face à l'un des ennemis les plus redoutables, épuisant jusqu'à la dernière cartouche.
La Nouvelle République
1er Novembre 2007
Questionnaire :
I- Compréhension : (12 pts)
1- « Djamila, Hassiba, Ourida et tant d'autres ont marqué l'histoire. »
Que signifie cette phrase ?
Relevez dans le texte deux expressions qui en reprennent le sens.
2- Qui sont ces femmes : Djamila, Hassiba et Ourida ?
3- Quel est le domaine qui a été monopolisé par les femmes ? Relevez dans
le deuxième paragraphe la phrase qui nous le montre.
4- « ……..quand la faim tenaillait les entrailles. »
Le mot « tenaillait » signifie :
- torturait.
- questionnait.
- taquinait.
Choisissez la bonne réponse.
5- Donnez un titre qui convient au texte.
6- Beaucoup d'infirmeries ont donc été prises en charge par la gent féminine.
Mettez à la voix active
7- Ces femmes récupéraient les munitions.
Ces braves femmes parcouraient des villes.
Nominalisez les phrases ci- dessus.
8- Réécrivez ce passage en remplaçant le mot souligné par : « Cette femme »
« Ces femmes, qui ont eu à côtoyer la mort, eurent aussi à couler le plomb
des balles. Elles sont restées debout face à l'un des ennemis les plus
redoutables.
II- Production écrite :
(8PTS)
Observez la photo.
Pouvez- vous en quelques lignes, parler de l’événement présenté sur la photo ?
(le lieu, les personnages, l’époque……)
Bonne chance
Votre professeur
Niveau :3 lettres et langues
Corrigé type de la composition n°1
I- Compréhension : (12 pts)
1- « Djamila, Hassiba, Ourida et tant d'autres ont marqué l'histoire. »
Cette phrase signifie que Djamila, Hassiba, Ourida ont laissé leurs traces dans l’histoire de la guerre de libération algérienne. Ces femmes d’honneur ont combattu, bataillé le colonialisme français. Des femmes algériennes qui n’ont pas raté le rendez –vous de l’histoire. 1pt
Les deux expressions qui en reprennent le sens.
- Leurs noms sont gravés avec des lettres d’or. 1pt
- Des femmes qui ont tissé avec leur bravoure et leur détermination une part de notre mémoire collective afin que l'oubli ne vienne plus dissoudre leurs noms. 1pt
2- Djamila, Hassiba et Ourida sont des militantes, des héroïnes qui avaient l’amour de la patrie dans le sang. Elles ont payé de leur vie, choisissant de se sacrifier sur l’autel de la liberté. 1pt
3- le domaine qui a été monopolisé par les femmes : la santé 1.5pts
- Beaucoup d'infirmeries ont donc été prises en charge par la gent féminine.
- Elles ont eu un rôle déterminant dans les services sanitaires.
4- « ……..quand la faim tenaillait les entrailles. »
Le mot « tenaillait » signifie : torturait. 1pt
5- Donnez un titre qui convient au texte. 1pt
- Djamila, Hassiba, Ourida et les autres.
- Des femmes algériennes qui ont marqué l’histoire.
- La révolution au féminin.
6- Beaucoup d'infirmeries ont donc été prises en charge par la gent féminine.
La gent féminine a donc pris en charge beaucoup d'infirmeries. 1.5pts
7- Récupération des munitions par ces femmes. 2pts
Le parcours des villes par ces braves femmes.
8- « Cette femme, qui a eu à côtoyer la mort, eut aussi à couler le plomb
des balles. Elle est restée debout face à l'un des ennemis les plus
redoutables. 1pt
II- Production écrite : (8pts)
2 – ESSAI :
a- compréhension du sujet.
b – pertinence des idées
c - le plan.
d – cohérence.
e – correction de la langue.
Niveau :3 AS Sciences, G.E,
MATH, M.T
Corrigé type de la composition n°1
I- Compréhension : (14 pts)
1- « la nuit de la grande fraternité militante. »
a- Cette expression veut dire qu’une ambiance de fraternité, de solidarité et d’union régnait au sein du groupe des militants cette nuit là.
b- Les deux expressions qui en reprennent le sens.
- Arab Mohamed et Bouda Abdelkader se commutèrent au limage du barreau.
- le glissement vite absorbé par la houle des incantations religieuses et des hymnes patriotiques.
- L’émotion fut grande lors de l'arrachement soudain du barreau central.
2- Comment le glissement de la lime est-il caché?
Le glissement de la lime est caché ou absorbé par la houle des
incantations religieuses et des hymnes patriotiques.
3-Les sentiments éprouvés après avoir arraché le barreau :
- La victoire fut partagée vivement en silence.
- L'espoir, le doute, les craintes mêlés tourbillonnaient dans les esprits
4- Donnez un titre au texte.
- L’évasion.
- La nuit de la grande fraternité militante.
5- « ….qui retomba mollement dans l'anfractuosité du créneau. »
Le mot souligné signifie : Doucement
6- Les clameurs nocturnes ne troublaient plus la garde.
La garde n’était plus troublée par les clameurs nocturnes.
7-Ben Bella et Mahsas se sont glissés par la fenêtre. Les deux fugitifs
ont commencé à escalader leur premier mur.
8- Confirmation de la réception par la liaison.
II- Production écrite : (6pts)
2 – ESSAI :
a- Compréhension du sujet.
b – pertinence des idées
c - le plan.
d – cohérence.
e – correction de la langue
